danse actuelle
Le Melbourne Shuffle (ou MelbShuffle pour aller plus vite)
est une danse née à la fin des années 80 en Australie, plus précisément
sur la scène underground de Melbourne, la 2eme plus grosse ville de
l'île.
Vous devinerez donc aisément l'origine du nom, Shuffle
signifiant traîner des pieds en anglais.
Le Melbourne Shuffle a connu un succès grandissant surtout vers la fin
des années 90, il a traversé les continents pour arriver jusqu'en
Europe, d'ailleurs cette danse connaît déjà un certains succès et, en
Allemagne surtout.
A l'origine, la musique appropriée était du Jazz / Acid / House, puis
petit à petit de la Trance Music et finalement aujourd'hui du HardStyle
et de l'Electro.
Le HardStyle n'est déjà plus inconnu pour beaucoup de
monde, c'est en effet la musique de prédilection pour le JumpStyle
(danse très prisée en Hollande, Belgique, Nord de la France), musique
qui est également utilisée pour la tecktonik.
Attention, le Melbshuffle n'est pas une variante de cette fameuse danse TCK. C'est un style à part entière qui n'a pas été créé à des fins commerciales. Ne mélangez pas les deux.
Le Melbourne Shuffle (ou MelbShuffle pour aller plus vite)
est une danse née à la fin des années 80 en Australie, plus précisément
sur la scène underground de Melbourne, la 2eme plus grosse ville de
l'île.
Vous devinerez donc aisément l'origine du nom, Shuffle
signifiant traîner des pieds en anglais.
Le Melbourne Shuffle a connu un succès grandissant surtout vers la fin
des années 90, il a traversé les continents pour arriver jusqu'en
Europe, d'ailleurs cette danse connaît déjà un certains succès et, en
Allemagne surtout.
A l'origine, la musique appropriée était du Jazz / Acid / House, puis
petit à petit de la Trance Music et finalement aujourd'hui du HardStyle
et de l'Electro.
Le HardStyle n'est déjà plus inconnu pour beaucoup de
monde, c'est en effet la musique de prédilection pour le JumpStyle
(danse très prisée en Hollande, Belgique, Nord de la France), musique
qui est également utilisée pour la tecktonik.
Attention, le Melbshuffle n'est pas une variante de cette fameuse danse TCK. C'est un style à part entière qui n'a pas été créé à des fins commerciales. Ne mélangez pas les deux.
La base du Melbourne Shuffle est traditionnellement
un travail des jambes exécuté en combinant trois étapes de base :
- SLIDING à gauche puis à
droite et dans les deux sens. Correctement exécuté un shuffler peut sembler
défier les lois de la pesanteur.
- SHUFFLING
ON SPOT permet de se reposer car la danse est assez physique, se sont des
mouvements plus calme si la musique à un tempo plus lent
- SHUFFLE
IN A TRIANGULAR PATTERN est une étape très énergique qui
doit être exécuté avec le plus grand talent possible.
Cette danse utilise aussi beaucoup les bras car il ne s'agit pas de faire
n'importe quoi avec, il faut avoir un certain style et beaucoup de shufflers
utilise une casquette. Pour ce qui ne l'aurait pas compris le Shuffle se danse
sur du Hardstyle, Hard trance et autre style électro.
Commentaire personnel
J ai découvert le shuffle il y a
quelques mois de ça, c’est une danse qui m’a plut dès le début, je l’ai trouvée
particulièrement précise et difficile. Certaine
personne pourrait confondre le shuffle avec la TCK mais le shuffle est une danse beaucoup plus
complexe et détaillée, contrairement à la TCK qui se danse beaucoup avec les
bras et les mouvements qui sont trop répétitifs. Puis une dernière petite
précision pour ceux qui ne le sauraient pas, le shuffle se danse particulièrement sur du son appeler Minimal,
que d’ailleurs, je vous conseille d’écouter. C’est de la BOMB !!!!!!!
Dans le hip hop on regroupe deux
styles de danse le breakdanse et le streetdanse elles sont complémentaires,
c’est pourquoi on ne peut pas faire du break sans avoir des bases pour le
steetdanse et inversement.
Le breakdanse est le premier style à
apparaître, il est modifié par les breakeurs pour faire un aspect plus
acrobatique.
Le streetdanse fait ensuite son entée, il est
plus souvent pratiqué par les filles, mais des garçons comme Michel Jackson ou
Usher le pratique aussi.
Dans les années 50-60, l’arrivée
massive de personne de tous les continents à New York crée un melting-pot qui
contribue pour beaucoup à la danse.
Le hip-hop tire son aspiration de la danse africaine, sud américaine et
brésilienne, comme l’ « Electric Boogie » apparu sur la côte
ouest des Etats-Unis, plus connu sous le nom de « SMRF», ainsi que le loocking
crée par Don Campbell.
Dans la fin des années 90, les
chorégraphes commencent à s’intéresser aux danseurs HIP-HOP et les intègrent
dans leur création. L émission H.I.P-H.O.P fait connaître à des millions de jeunes : Sydney.
Il est le porte parole du HIP-HOP en
France.
Mais même si le HIP-HOP commence à
être reconnu en France, le mouvement ralenti alors qu’il augmente aux
Etat-Unis. S’il ralentit c’est qu’en France ce n’est qu’une mode et seuls les
cassettes vidéo américaines informent ceux qui continuent.
Les battles naissent souvent des
gangs car la plupart des Bad-boys était des gangsters.
Les battles leur évitent de se battrent
avec les poings, ils utilisent la danse.
Les lieux d’échanges de cette culture
sont les Night-clubs car les jeunes préparent leurs pas et les mettent en forme
lors des soirées.
Le fait que la danse est présente sur
scène maintenant donne un nouveau souffle au Hip-Hop.
Fin 2000, les médias s’intéressent au
HIP-HOP grâce à la première coupe du monde Hip HOP française gagnée.
Et pour finir, la danse est un travail
sur soi même qui permet à chaque individu d’exprimer ses sentiments sans se
mettre en danger.